La Belle Époque
Maintenant la forme et le vent
Sont plus pour moi que les calèches
Que conduisaient au bon vieux temps
Enombrellées les dames fraîches
Ma belle époque elle est passée
Celle où j’aimais les Ophélies
La fausse passion ramassée
Dans les romans n’est que folie
Maintenant je conduis ma vie
Comme on conduit un char plus lourd
Privé d’ombrelle et sans envie
Tout cahotant dans les labours.
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