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AVIS DES LECTEURS

TRAIN CORAIL.


Un grand moment de lecture! Un train que l’on n’a pas envie de quitter. Merci!

Guy MASAVI (19 novembre 2010 sur In Libro Veritas).


Encore bravo pour cette nouvelle, elle m'a scotché, quand le train s'arrête et que la femme part, je ne sais pas, mais je pense que je descends : nouvel  amour, nouvelle galère quand on est incorrigible ...

Guy MASAVI (message privé sur In Libro Veritas, le 20 novembre 2010)


Vous donneriez envie à n’importe qui de monter immédiatement dans un train. Magnifique. 10/10

Ronchon (19 novembre 2010 sur In Libro Veritas).


"Soudain, à la lisière extrême de ce mouvement oculaire, vous saisissez le filet d'un regard filtré par les cils et aussitôt détourné, la présence, toute proche, d'un jeu parallèle au vôtre."

Subtil jeu d'écrivain.

Elidée (20 novembre 2010 sur In Libro Veritas).


Magistral.

Qui connaît le train doit lire ce texte ; soit que cela vous est arrivé, soit que cela vous arrivera.

Merci Georges-André Quiniou.

Teutatès (23 novembre 2010 sur In Libro Veritas).


Une belle écriture qui vous fait sortir du train-train et dérailler l'imagination.

Zoreil (23 novembre 2010 sur In Libro Veritas).


Bonjour,

Train corail : vous êtes un sorcier Georges-André. Vous m'avez mis dans un bel état !

Il y a vingt ans, dans le train pour le service militaire, j'ai un jour dessiné (j’ai toujours plus dessiné qu'écrit) une jolie fille endormie à côté de moi. Elle s'est éveillée et a vu son portrait, me l'a demandé. Elle a sourit. On a parlé de tout et de rien. Une argentine très jolie. Elle m'a donné son adresse à Colmar. J'y suis allé, boire un thé et...

Et j'ai fui, bien sûr ! En me traitant d'idiot, bien sûr.

Ce que vos personnages n'ont pas fait. Cet instant ou j'ai fui, je me le rappelle. Votre texte m'a remis face à lui : alors, comment cela ce serait passé si je n'avais pas fui ? Combien de fois cette situation m'est encore arrivé ? J'ai fui chaque fois, encore plus tôt, et cela m'a attiré chaque fois. Des années à prendre le train pour aller au travail à Annecy... Chaque fois, ce jeu s'est reproduit. Les femmes utilisent parfois les vitres pour vous regarder discrètement. Et elle avoue tout : chanson de Goldman "tout était dit" : « Dans chacun de tes gestes un aveu, un secret dans chaque attitude ».

Même la plus discrète ne peut mentir à tant de solitude

On fuit, effrayé de ce qu'il va se passer.

Et votre personnage demande : vous n'avez pas peur ?

Pourquoi je vous raconte ça, cher Georges-André, qu'en avez-vous à faire ? Ha ha.

Bon, peu importe. J'adore vos œuvres. J'entends bien en faire la promotion avec mes modestes moyens chaque fois que je le peux.

Amitiés,

Christophe (Message privé sur In Libro Veritas, le 23 novembre 2010).


Aaaah, il reste 7 minutes, ça laisse le temps de continuer à écrire le synopsis ! Une sorte de drague à l'écriture dans une autre dimension, mais bien écrite. Il y a une force qui nous amène à être cet homme, à se déconcentrer puis se reconcentrer, à chercher aussi en vain quoi dire pendant ces 10 minutes. L'amour et l'imaginaire, un thème profond... À lire !

Morgann (12 novembre 2011 sur Atramenta).


Quelle histoire ! Quel style ! Je découvre et j'adore ! Une histoire dans un train, cela m'est arrivé mais elle n'était pas si heureuse que celle-ci, quoique peut-on parler ici de fin heureuse ? Il reste 7 minutes... tout peut arriver en quelques secondes, alors 7 minutes...

Cécile Ramaekers (13 novembre 2011 sur Atramenta)


Je suis surprise du peu de lecteurs de cette nouvelle, ou tout au moins du peu de commentaires. Il est vrai que je suis venue lire sur le conseil de Morgann. Pour ma défense, je lis très peu sur le site à part la poésie. Et j'ai tort.

J'ai mis en coup de cœur votre texte. Il est tellement précis dans la description des personnages et des sentiments qui les animent le temps de cette rencontre.

J'ai vu un court métrage, les images se sont imposées et mon imaginaire a voyagé.

Superbement écrit.

Den Hall (12 novembre 2011 sur Atramenta)


Époustouflant !

Hervé Léonard MARIE (12 novembre 2011 sur Atramenta)


Cette nouvelle est dans mes œuvres favorites depuis ILV ! J'aurais voulu l'écrire.

Zoreil (13 novembre 2011 sur Atramenta)


J'ai beaucoup aimé cette nouvelle si bien écrite que j'ai eu l'impression d'être moi même dans ce Train Corail. Lieu où tant de liens peuvent se faire et se défaire. Décor rêvé pour tout auteur. Bravo.

Mary Mye, 25 juin 2013 sur Atramenta.


Un tour de force ! C’est vrai qu’en sept minutes, il peut s’en passer encore, des choses…

Anne-Marie Désert (22 mars 2020 sur Atramenta).


Quelle belle histoire, pleine d’imagination. J’ai juste tiqué sur la cigarettte : on pouvait encore fumer ? En quelle année ? Comme le dit Anne-Marie, en 7 minutes on a le temps de courir sur le quai : qu’on sache au moins son NOM

Marietta Raüschomm (3 mai 2021 sur Atramenta).


J’ai adoré ! Je me suis pris dans les pensées du narrateur au point d’avoir l’impression de vivre cette histoire pour de bon, c’est très fort ! bravo et merci Georges-André, ravi de vous “découvrir” sur ce texte.

Jérémie Chavenon (14 mai 2021 sur Atramenta)


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