Avis des lecteurs
Les aventures extraordinaires de Crapie.
Merveilleuse histoire. J’ai adoré. Bravo !
J’ai une petite fille de 7 ans, je la lui lirai également. Encore merci. J’espère vous lire encore ?
Li-belle-lul, sur In Libro Veritas, mars 2020.
Quel plaisir de retrouver Louise à travers Crapie et quelle bonne idée de lui écrire des contes. Les enfants les adorent et les adultes qui ne sont que des grands enfants aussi !
Merci Georges-André !
Elidée, sur Atramenta le 13 juin 2018.
Je suis sous le charme de cette jolie histoire, presque un conte mais qu’un adulte peut aussi apprécier…
Marietta Raüschomm, sur Atramenta le 11 juin 2019.
Très belle histoire, on entre volontiers dans le monde merveilleux de Crapie ! On s’y sent si bien, qu’on aimerait qu’il perdure malgré le temps et le passage des bonnets de laine dans la machine à laver ! Je suis sûre que votre petite-fille aimera que vous la lui racontiez ! Merci pour le partage, Georges-André !
Géod’AM sur Atramenta le 29 février 2020.
Je viens de lire l’histoire de Crapie. Je trouve que l’œuvre est pleine d’une imagination débordante. L’auteur a dû se régaler à l’écrire comme on se régale à la lire. Si mes petits-enfants étaient près de moi et avaient l’âge, je la leur lirai volontiers. Un véritable enchantement. En plus avec le chat perché de l’illustration avec son expression narquoise !
Hario Masarotti, sur Atramenta le 4 janvier 2021.
G-A Quiniou signe ici une histoire pour enfant, adressée explicitement à Louise comme il est précisé en exergue, car même si la petite fille s’appelle Crapie, elle aurait préféré s’appeler Amandine ou Clémence ou Louise, justement.
Une histoire où Nestor, le chat, indique le chemin de l’invisible, l’éclaire au sens propre et où la fée, là-bas tout au fond du couloir, donne les clefs du monde des lutins. Un monde où vivent ceux qui aiment le chant des grenouilles, un monde où la petite fille ne s’appellerait plus Louise mais Crapie prénom dont il est dit qu’il lui faisait penser un peu à crapaud.
Bien sûr on est dans un conte et cependant, si l’on fait bien attention à ce qui est censé servir d’explication au merveilleux, quelque chose semble bancal. Pour entendre les lutins, Crapie et sa sœur Elsie - l’autre, celle qui est encore une enfant qui ose dire les choses - doivent être équipées du bonnet que leur a tricoté la fée. On aura remarqué cependant que les deux enfants avaient entendu les lutins avant que cet accessoire ne leur soit fourni ! Indice qui nous permet de mieux lire. Ce n’est pas tant que les sœurs ne puissent percevoir le bruit fait par les lutins mais bien qu’elles ne peuvent l’entendre ; ne dit-on pas j’entends bien pour signifier non la perception des sons, mais que l’on a bien compris son interlocuteur.
Donc quelque chose se passe du côté de l’invisible et de l’inaudible, quelque chose qu’il faut aller chercher sous la terre là où l’on est tout petit comme pour exorciser le chant des grenouilles que Nestor ne supporte pas. Et quand cela sera fait la fée reprendra le panier de fraises aux pouvoirs magiques et Nestor disparaîtra, Nestor qui dit que le chant des grenouilles lui casse les oreilles.
Les contes toujours sont mystérieux et ce ne sont donc que des pistes pour vous donner envie de lire ce récit qui offre aux adultes l’occasion de s’interroger sur ce qui ne peut être dit.
Penvins, le 23 mai 2020 sur Exigence-Littérature.