AVIS DES LECTEURS
PALACE-HÔTEL
Si j'avais mis la main sur ce roman debout dans un rayon de la Fnac, je l'aurais acheté sans hésiter, après seulement un œil sur quelques lignes.
Teutatès (En ligne) 27 septembre 2010, sur In Libro Veritas.
Ambiance tendue d'un huis clos, escalade du mensonge, logique imparable, on reste sans défense, conduit par l'écriture précise et efficace de l'auteur.
Le scénario est certes un peu trop simple, le roman un peu trop court, pour les amateurs de complexité maximale, mais la psychologie des personnages et des situations ne laisse pas le choix au lecteur ; il faut lire jusqu'au bout pour être délivré !
Et on se plait à rêver d'un second épisode.
Teutatès (15 octobre 2010 sur In Libro Veritas)
Un livre palpitant. 24h d'un huis clos qui se lit en deux heures, sans que l'on ai envi de lâcher son eBook.
Oui milles excuses j'ai téléchargé! Ce qui me met en infraction en regard du copyright et de HADOPI. Désobéir pour diffuser et promouvoir les œuvres que l'on aime, lourde responsabilité pour le lecteur militant, mais pas de regret.
Guy MASAVI (3 novembre 2010 sur In Libro Veritas)
Une fois commencé la lecture, on ne peut plus l'arrêter. Il faut absolument lire jusqu'à la fin. On pourrait tous se retrouver dans cette situation mais irions-nous au bout ? Le talent de l'auteur nous y emmène à travers quelques vérités disséminées :
« C’est comme cela avec tout le monde, pense-t-il, les adultes ne sont jamais que des enfants qui le cachent ; dès que l’on commence un peu à connaître quelqu’un, c’est l’enfant que l’on découvre. »
Élidée (4 novembre 2010 sur In Libro Veritas)
Palace-Hôtel mérite sa place dans la sélection. Un des meilleurs que j'ai lu ici. Vous me disiez qu'il ne se passait rien dans ce roman. C'est précisément ce que j'ai trouvé génial. On reste en haleine, tout le long sur un quiproquo dont on n’aura jamais les tenants et aboutissants. Sans pour autant être frustré à la fin. On ne reste pas sur sa faim pourtant on a rien bouffé.
Guy MASAVI (7 novembre 2010, message privé sur In Libro Veritas)
Je dois dire que vous avez le chic pour une certaine originalité dans vos descriptions, tant des décors que des attitudes des personnages ; l'intrigue (ou plutôt l'évènement déclencheur), me semble simple (et tient à pas peu de choses en fait), mais tout ce que vous bâtissez autour pour nous la faire vivre est captivant.
Merci à vous
Jodelle (16 novembre 2010, message privé sur In Libro Veritas)
Huis clos haletant autour d'un quiproquo. Vraiment deux heures de lecture agréable.
Guy MASAVI, sur FeedBooks (3 novembre 2010).
Mes prédécesseurs ont tout dit. Alors je dirai simplement que vous nous offrez là un très bon roman et que je me suis régalée.
Merci
Moranivero (26 novembre 2010 sur In Libro Veritas)
L'idée de départ est excellente: dans un hôtel, un client est pris pour quelqu'un d'autre par une mystérieuse femme à la toque emblématique. Jouant sur la proximité des patronymes, il décide de jouer le jeu et d'incarner la personne demandée... jusqu'où? L'auteur joue habilement sur des malentendus, troussant d'adroits dialogues et campant une ambiance de flou artistique qui fonctionne à merveille. Cela, dans un climat en mode mineur: hôtel de catégorie moyenne plutôt anonyme, retour d'un office de funérailles, météo volontiers maussade, endroits glauques malgré un petit détour par Neuchâtel, en Suisse, dans une rue qui existe vraiment. A découvrir.
Daniel (Sur : La Confrérie des 10001 pages,10 février 2011).
Palace-Hôtel m'a scotché. L'ambiance, l'idée, la psychologie des personnages... De plus - je vais faire un mauvais compliment, mais il est sincère - l'histoire n'est pas si extraordinaire, mais l'écriture est si bonne, qu'on lit habité par une tension jusqu'à la dernière ligne. J'ai lu Palace-Hôtel parce que je ne pouvais pas faire autrement. Mais maintenant, quand je le relis, c'est pour percer les secrets de l'écriture de Quiniou.
Cartier-Perrin (Sur : La Confrérie des 10001 pages, 26 mai 2014).
Bonsoir,
Je voulais juste vous écrire un petit mot pour vous dire que l'on m'a offert votre livre, Palace-Hôtel, à Noël. Et je l'ai beaucoup aimé. Vraiment!
Une histoire simple, mais prenante, et qui se lit avec un vrai plaisir. Mais, plus que tout, j'ai adoré votre style. Un style fort, riche, haut en couleurs, qui vous prend aux tripes et qui ne vous lâche plus, et qui donne encore plus de richesse et de relief à l'histoire en elle-même.
Ces commentaires sont sincères. En comparaison, je trouve mes écrits bien pâles, mais j'espère qu'à force de travail et de progression, j'aurais un jour la moitié de votre talent.
En vous souhaitant une bonne continuation, notamment dans vos activités artistiques!
Cordialement,
Stéphane Baure, le 19 janvier 2015 (message privé sur Atramenta)
J’ai lu votre livre « Palace hôtel » avec beaucoup de plaisir. Votre maîtrise de la langue française donne beaucoup de vie à votre écriture, utilisant deux styles complémentaires, le descriptif pour les lieux et l’affectif pour les protagonistes ; deux styles tenant le lecteur en haleine du début à la fin. L’intrigue ne manque pas d’originalité. A partir d’un quiproquo sur un nom, se déroule une aventure hors du commun durant un trajet en voiture de deux personnes, dans un huis clos laissant la porte ouverte à toutes les interprétations sur l’objet du voyage ! À la fin de ce périple, le lecteur peut laisser toute liberté à son imagination quant au contenu de la valise ! ! Est-ce la volonté de l’écrivain de proposer un fil conducteur pour l’imaginaire des lecteurs et poursuivre, eux aussi, une aventure hors du commun ?
André Lecomte, publié sur monBestSeller le 30 Octobre 2018
Renault 25 Beverley, ça rajeunit pas !! Vous êtes donc un écrivain qu’on lit pour connaître l’épilogue d’un récit sachant que très probablement il n’y en a pas ! L’écrivain qui raconte des situations surréalistes et qui les dit comme si elles ne l’étaient pas. L’écrivain dont le style parfaitement classique permet toutes es audaces. L’écrivain dont les héros malgré eux sont des hommes et dont les femmes sont des personnages subalternes très omniprésents ! très beau récit, merci.
Brice Epédrague, sur monBestSeller le 11 Novembre 2018
Du raffinement dans le style et l’écriture, une ambiance vieille France. J’ai beaucoup aimé et déjà, je recherche vos autres ouvrages pour m’en délecter. Je vous considère comme l’un de mes auteurs favoris. Merci à vous.
PS : j’ai même retrouvé l’odeur et le son de mon ex – Beverley.
Watt Sonne, sur monBestSeller le 05 Décembre 2018
Juste un pas de côté et voilà Jacques Dorival (et le lecteur avec lui), embarqué le temps d’une parenthèse dans une histoire qui n’est pas la sienne. L’hôtel où il est descendu a perdu de sa splendeur d’autrefois. Il est venu pour l’enterrement d’une vieille tante et se retrouve sur des terres connues à s’engager sur un chemin qu’il ne maîtrise pas. À la suite d’un quiproquo Jacques, devenu Rémy, invite Flora à dîner et s’enferme en toute innocence dans un piège dont nous ne savons presque rien.
Bien sûr il s’agit de maintenir le lecteur en haleine, de lui laisser croire qu’au chapitre suivant il connaîtra le fin mot de l’histoire, et de ce point de vue aussi le pari est totalement gagné mais en deçà d’une habile fiction le lecteur attentif finira peut-être par comprendre qu’il ne saura rien de ce qui entraîne Jacques/Rémy sur la route de Neuchâtel.
Ce roman est avant tout le roman d’un non-dit ; plus que de révéler ce qui motive cette expédition, ce que doit retenir le lecteur c’est que Jacques y a été entraîné à la faveur d’un quiproquo qu’en toute innocence (ou par banale lâcheté ?) il n’a pas su dénoncer. De cette aventure nocturne les motivations délictuelles voire criminelles ne peuvent bien sûr être dévoilés, mais surtout elles ne sont qu’accessoires, tellement secondaires que le roman n’en dira rien ! Peu importent les vraies raisons qui le conduisent sur cette route, l’essentiel est que Jacques, comme il le répétera à son commanditaire, ne sait rien du crime auquel il a été associé et mieux encore, n’en veut rien savoir et que la parenthèse puisse enfin se refermer.
L’épouse de Jacques, Anne, qu’une répétition chorégraphique a maintenue à Quimper, non plus n’en saura rien. Sans doute le lecteur aura-t-il vu à la faveur d’une deuxième lecture pourquoi ce roman commence par un enterrement.
Lire Georges-André Quiniou c’est se méfier de l’apparente simplicité de ses récits.
Penvins, 19 février 2023 sur Exigence : Littérature.